Le 17 avril, la famille de Mme Fang est arrivée en Espagne et a identifié le corps.
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a alors déclaré que le consulat général honoraire de Singapour à Madrid avait été en contact avec les autorités locales à propos de cette affaire.
Il a ajouté que le ministère des Affaires étrangères et le consulat général honoraire fournissaient une assistance consulaire et un soutien à sa famille.
MISE EN DÉTENTION
Le 19 avril, Ong a été traduit devant un tribunal de Murcie par deux officiers de la Garde civile espagnole. Il n’a pas bénéficié d’une libération sous caution et a été placé en détention provisoire pendant que l’enquête était en cours.
Un rapport d’autopsie préliminaire a montré que Mme Fang avait subi des blessures au couteau et un traumatisme à la tête, qui ont entraîné sa mort.
Les équipes médico-légales ont déclaré que les échantillons nécessaires avaient été prélevés et que son corps pourrait être rapatrié si le tribunal l’autorisait.
La Garde civile espagnole avait alors déclaré qu’elle enquêtait toujours sur le mobile du meurtre.
Le 20 avril, La Verdad de Murcia a identifié Ong. Deux autres médias, La Opinión de Murcia et Levante El Mercantil Valenciano, l’ont identifié par ses initiales « OM ».
Selon Levante El Mercantil Valenciano, la police a prouvé que les téléphones portables de Mme Fang et d’Ong étaient ensemble à Abanilla le jour de sa mort.
Elle n’a pas été agressée sexuellement, selon le rapport.
Il a ajouté que Mme Fang et le suspect se connaissaient depuis de nombreuses années et qu’il pourrait y avoir un « mobile économique » à l’incident. Elle aurait transféré de l’argent à une tierce personne non identifiée.